La ville mère d’ovulande
Sous terre, loin des regards, la ville se construit,
Une ville de rêve, où tout est permis,
Les couples se forment, les enfants naissent,
Et la vie continue, malgré le monde en dehors.

La Ville mère Ovulande, un lieu de refuge,
Pour ceux qui cherchent à échapper à la destruction,
Mais avec le temps, la ville se referme,
Et le peuple s’enfonce dans la stagnation.

Les rues sont vides, les bâtiments décrépits,
Les enfants grandissent, mais ignorent leur sort,
La Ville mère Ovulande, un espoir déçu,
Un abri qui devient un piège, un lieu de mort.

Mais pourtant, il y a encore de l’espoir,
Car malgré tout, la vie continue de s’épanouir,
Et peut-être un jour, la ville remontera à la surface,
Et le peuple pourra enfin vivre libre, sans se cacher.

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